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Les Coachs professionnels doivent suivre un code de déontologie, afin de réaliser une pratique "saine" pour leurs clients, pour eux même et pour la société. Je vous rappelle, ci après, les points clefs des 5 pages du code de déonthologie ICF, auquel j'adhère en tant que Coach Certifié. Le code de déontologie a pour fonction de garantir l’intégrité d’ICF et du coaching dans le monde. Il est divisé en 4 responsabilités vis à vis des clients, de la pratique, du professionnalisme, de la société. Voyons chacune des ces parties en résumé. 1- La responsabilités du coach vis à vis des clients : Il s’agit de garantir que chaque client comprenne ce qui est en jeu dans une relation de coaching (confidentialité, tarifs, rôles, droits, responsabilités, …) et adhère ainsi à une relation contractuelle. Le coach s’engage à respecter les termes de ce contrat, avec en plus, une attention particulière à la compréhension des échanges, des changements dans la relation, des éventuels conflits d’intérêt à gérer, de la préservation des données confidentielles de son client (et de sa rupture en cas de force majeure), du besoin éventuel de terminer le contrat avant son terme, … Le coach agit en toute transparence sur sa rémunération et ses intéressements, avec une qualité constante de coaching. 2- La responsabilité du coach vis à vis de sa pratique : Tout coach a le devoir de respecter et faire respecter le code de déontologie et d’y faire adhérer toute fonction support concernée. Il s’engage dans un développement continu pour l’excellence. Le coach est conscient de ses limites personnelles et sollicite du soutien en cas de besoin, allant jusqu’à suspendre la relation de coaching. Il en va de même pour la gestion des conflits d’intérêts. Enfin, il respect la confidentialité des données personnelles des membres ICF auquel il a accès, de par son adhésion. 3- La responsabilité du coach vis à vis de son professionnalisme : En tant que professionnel, le coach communique avec précision sur ses compétences, ses diplômes, et les services qu’il propose. Il communique, s’il le juge nécessaire, les responsabilités éthique du code. Enfin, il fixe des limites claires, adaptées à la culture, dans les interactions physiques et veille à un niveau d’intimité approprié dans la relation de coaching. 4- La responsabilité du coach vis à vis de la société : La coach a le devoir d’éviter toute discrimination quelle quelle soit, de respecter la propriété intellectuelle d’autrui et d’une façon générale de respecter les normes et codes en vigueur où il se trouve. Il est conscient de son influence pour « faire le bien ». Besoin d'un coach qui respecte le cadre et l'éthique du coaching ? Inscrivez-vous à votre première séance de coaching gratuite : Rendez-vous