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Comment passer du « no pain, no gain » au travail plaisir ?


Si pour vous le travail est synonyme de souffrance ; si vous ne pouvez pas concevoir de gagner votre vie autrement que dans un travail pénible et harassant ; si vous avez fait votre, la devise « No pain, no gain » (pas de souffrance, pas de bénéfice) dans votre travail, alors peut-être faut-il vous demander s’il n’existerait pas une alternative, qui vous permettrait de mieux vivre votre travail et tout simplement votre vie.

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Pourquoi le travail est-il synonyme de souffrance ?

Étymologie et histoire L’étymologie du mot travail viendrait pour certain d’un instrument de torture le « tripalium ». Pendant des milliers d’année le travail a été synonyme d’effort et de douleur. Cette idéologie est fortement ancrée dans notre culture. Les salles de travail de nos maternités, par exemple, sont les salles ou les femmes mettent au monde dans la souffrance. Dans les premières sociétés civilisées de la Grèce antique, le travail était accompli par les esclaves. On ne travaillait pas, on faisait travailler les autres comme des bêtes de sommes dont on se débarrassait ensuite…

Le travail comme valeur ajoutée Le travail est ensuite perçu comme créateur de richesse et les années de fortes industrialisations renforcent cette idéologie. Avec l’approche marxiste du travail, arrive la notion d’exploitation et d’aliénation. L’avènement des congés et des loisirs, renforcent la perception du travail comme une contrainte empêchant l’épanouissement de l’individu : « je ne veux pas perdre ma vie à la gagner » disait-on en 1968.

Le parallèle avec le sport Comment alors motiver des personnes et les pousser à se dépasser dans un monde de plus en plus concurrentiel ? Vient alors la notion de dépassement de soi, et l’image du héros sportif. Aujourd’hui nous faisons de nombreux parallèles avec la réussite sportive ; pour gagner il faut souffrir dans l’entrainement ; aller toujours plus loin pour repousser nos limites ; il faut être le premier, ne pas perdre… Et de nombreux jeunes sont élevés dans cette peur de l’échec, dans cette interdiction d’échouer. Mais on oublie trop souvent que pour réussir, il faut connaitre la défaite ; « je ne perds jamais, soit je gagne soit j’apprends » disait Nelson Mandela.

Après des millénaires d’idéologie ou travail était synonyme de souffrance, comment pouvons-nous changer le logiciel ?

Comment casser le paradigme ?

Pour qu’une personne puisse donner le meilleur d’elle-même dans son travail comme dans n’importe quelle activité, il faut qu’elle aime ce qu’elle fait, qu’elle trouve du plaisir à accomplir une tâche. Partant de ce principe, la surcharge de travail, la pression excessive du management sur les salariés engendrant stress et burn sont totalement contre-productifs. De la même façon mêler loisirs « fun » et travail dans les locaux ; comme le babyfoot dans le couloir, … ; met en difficulté de nombreux salariés et s’avère, avec le recul, également contre-productif.

Vouloir en finir avec le travail souffrance, c’est vouloir passer par une relation au travail ou chacun se sent écouté et respecté ; c’est vouloir mettre en œuvre un management transparent, responsable pour faire naitre la confiance. Le vrai rôle du management ce n’est pas de dépenser 3000€ pour l’achat d’un babyfoot, mais d’instaurer cette relation de confiance et de respect ou chacun pourra s’épanouir. Cette relation se construit progressivement, pas à pas, tout au long de la vie de l’entreprise et s’entretien en permanence.

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Ressources :

- https://www.challenges.fr/entreprise/vie-de-bureau/salaire-sens-metier-sur-quoi-repose-vraiment-le-plaisir-au-travail_695302

- https://changethework.com/charge-de-travail-souffrance-plaisir/

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